Formé à l’USI et figure des Rouge et Noir depuis plusieurs années, l’arrière polyvalent de 25 ans Benjamin Bataille vient de prolonger de deux saisons son engagement avec le club. Il sera donc Ivryen au moins jusqu’en 2020.
Ennuyé cette saison par les blessures mais toujours à fond quand il a été en pleine possession de ses moyens, l’arrière polyvalent Benjamin Bataille, formé à Ivry, vient de parapher un nouveau contrat pour deux saisons supplémentaires du côté de Delaune.
Il fera donc encore partie des cadres de l’équipe, à l’instar de son pivot de frère Mathieu ou encore du demi-centre Vasja Furlan, dans les mois à venir. Une nouvelle que l’intéressé prend avec beaucoup d’enthousiasme : « Je suis content de rester au club car c’est un travail qui se fait dans le durée ici et pour moi c’est un choix de cœur et sportif que de poursuivre à Ivry. J’ai encore de la maturité à acquérir comme joueur et je sais que je vais pouvoir continuer à progresser. Partir pour partir dans un autre club n’aurait pas de sens. Avant cela je dois aussi montrer ce dont je suis capable et Ivry est parfait pour cela. Actuellement je suis dans une période qui est très frustrante car dans les tribunes, je ne peux pas aider l’équipe. On a eu quelques mauvais résultats mais je sais que l’on va rebondir et gagner d’autres matchs. »
Président satisfait d’avoir prolongé le médaillé de bronze au Mondial junior 2013, François Lequeux veut faire de l’arrière un homme fort du collectif : « Benjamin, on compte sur lui et il devrait former un trio important avec Mathieu, son frère, et Vasja Furlan. Cette prolongation est une marque de confiance réciproque car on sait qu’il était sollicité par d’autres clubs. Et c’est logique car il est polyvalent et complet. Il attaque et il défend. On a envie d’aller de l’avant avec lui d’autant qu’il y a forcément un côté affectif supplémentaire à l’avoir avec nous. C’est une valeur ajoutée. Et comme il n’a que 25 ans, on sait qu’il peut encore progresser. Il faut qu’il soit encore plus régulier dans ses performances notamment et qu’il pèse encore plus sur le jeu collectif. Il a tout pour passer un cap. »