Florence Fauveau-Bernard, bénévole depuis 2016 : Match à domicile
« Le bénévolat est un juste retour des choses, le club s’occupe de la formation de nos enfants, en échange, je donne de mon temps »
Qu’est-ce qui t’as poussé à être Bénévole au club ?
Pour moi le bénévolat au sein de l’US Ivry handball est la poursuite d’un engagement. En effet, j’étais déjà bénévole à Besançon, club précédent de mon fils aîné.
Ce dernier a intégré la formation Ivryenne en 2016 en catégorie –18, et moi l’équipe de bénévoles.
Je fais du bénévolat par conviction. Il s’agit d’un juste retour des choses. Le club, ses entraineurs, s’impliquent dans la formation, qu’elle soit sportive ou personnelle, de nos enfants, de mon côté, je donne du temps pour aider le club quand il y en a besoin.
Quelle est ton action au sein du Club ?
Lorsque mon fils est arrivé dans le collectif –18, je me suis impliquée dans le groupe de parents qui organisait les moments conviviaux d’après matchs à domicile.
Ces moments sont enrichissants pour les jeunes et les parents, ça permet de dissocier le temps de compétition et le temps de partage !
Au sein du club, je participe à la mise en place du gymnase Delaune, avec mon acolyte Claude (Pierquin), les soirs de matchs des pros.
Je vais également chercher la charcuterie et le fromage pour la confection des planches, et le pain, toujours avec mon acolyte.
Je distribue les programmes de match aux supporters, et lorsque la responsable de la boutique ne peut être présente, je la remplace !
Lors du tournoi Mini-Hand organisé par le club, et lorsque l’US Ivry accueille la coupe Falcony des –18 (1/8éme et quart), je suis à la buvette.
Serais-tu prête à en faire plus au sein du Club ? Si oui, sur quel domaine ?
Ce serait très difficile, ne vivant pas à Ivry, je ne suis, la plupart du temps, que de passage.
Que fais-tu comme travail ?
Actuellement, j’assure essentiellement la logistique, chauffeur de taxi, conductrice de travaux dans l’Yonne, pour ma petite famille.
Je suis donc retraitée, mais dans une vie antérieure j’étais inspectrice principale de l’action sanitaire et sociale. Mon dernier poste était à l’agence régionale de la santé d’Alsace (ARS).
As-tu une anecdote à nous faire partager ?
Pour les quelques fois où je me suis occupée de la boutique du club les soirs de matchs des pros, j’ai été amenée à solliciter mon mari. Avec son bagou, il réussissait à vendre des doudounes, s’appuyant sur la persistance du froid parisien.
Un autre débauchage familial, au tournoi Mini-hand, je suis venue avec mon fils cadet qui a été littéralement happé par un ancien joueur du club, ce dernier lui contant les ‘belles années’ !!
Fort de ces histoires, mon cadet a demandé à s’impliquer un peu plus et est devenu bénévole de la buvette, les soirs des matchs des pros, quand il n’a pas classe le lendemain.