Dernière recrue des Rouge et Noir, José Jorge Floris Gonzalvo dit « Pepe » Floris s’est engagé pour deux saisons dans le Val-de-Marne. Arrivé de Huesca, en Espagne, où il a fait toute sa carrière, le jeune homme de 20 ans voudra apporter ses compétences sur le poste d’arrière gauche. Entretien. 

Pepe, tu es la dernière recrue du club, quelles sont tes impressions depuis ton arrivée ?

Mes partenaires, les coachs et tout le staff m’ont bien accueilli. Tout le monde m’aide à bien comprendre et m’intégrer sur le terrain, dans le club et la ville. Mes premiers sentiments sont vraiment bons.

Es-tu heureux d’être à Ivry ?

Oui, j’aime beaucoup la ville qui n’est pas très grande donc c’est assez facile d’aller d’un endroit à un autre. Et Ivry est un grand club, avec une histoire. C’est une belle opportunité pour moi de jouer ici.

Comment se passent les entraînements et la reprise des matchs amicaux ?

Pour le moment il est encore tôt pour savoir où nous en sommes et ce que cette équipe peut devenir. L’équipe est jeune et on commence à former ce nouveau collectif. On a beaucoup à apprendre ensemble. Mais je pense que l’on a fait beaucoup d’efforts depuis le début et que l’on continue d’en faire. On peut faire une belle saison.

Quelles sont tes attentes en tant que joueur ?

Je suis un jeune joueur et j’ai encore beaucoup à apprendre. Et c’est ce que je veux faire. Les coachs m’aident déjà beaucoup en musculation ou sur des aspects techniques, dans le jeu.

Quel genre de joueur es-tu dans un collectif ? Comment te vois-tu dans les semaines et mois à venir ? 

Je ne suis pas un grand bavard. Je suis plutôt quelqu’un de très tranquille. Surtout je sais que je suis un des plus jeunes donc je dois d’abord tout donner pour l’équipe, progresser et ne pas ménager mes efforts. 

Est-ce un gros challenge de venir en Starligue, à Ivry, pour toi ?

J’ai joué toute ma vie en Espagne, dans le même club, à Huesca. Changer de pays et de club est donc un temps très fort pour moi. Mais je suis vraiment bien aidé par tout le monde donc pour le moment cela se passe très bien.

Qu’est-ce qui est le plus difficile depuis que tu es là ?

Le français (sourires) ! Mais je vais commencer dans quelques jours les cours avec certains de mes partenaires.

Connais-tu déjà quelques mots ?

Je peux déjà faire quelques petites phrases. C’est le début. 

Tu disais qu’il y avait beaucoup de travail à effectuer encore avant d’être prêts pour le début des matchs officiels. Tu es malgré tout optimiste ?

Oui, bien sûr. Avec des efforts, on peut arriver à beaucoup de choses. On a un bon niveau général mais il faut que l’on arrive à bien se comprendre, anticiper ce que l’autre attend dans telle ou telle situation.