En vue lors de cette 15e journée de D1, les Ivryens Novica Rudovic et Pascal Léandri ainsi que le Dunkerquois Patrick Cazal sont dans les réactions d’après match.

 

Novica Rudovic (arrière gauche d’Ivry, en photo) :

Encore une fois, on est tout près de pouvoir l’emporter et on n’y arrive pas. D’autant que je prends ce dernier shoot rapidement et que je le manque, c’est très dur. Il va falloir que l’on se relève vite et que l’on reparte à l’entraînement pour aller chercher une prochaine victoire face à Cesson-Rennes. Je ne sais pas vraiment ce qui nous manque parce qu’on fait plutôt un bon match. On n’a pas pris beaucoup de buts, mais voilà on est encore derrière. Ce sont de petits choses et un peu de malchance peut-être aussi. Il faut vraiment vite se relever et j’espère que le travail va payer bientôt.

 

Pascal Léandri (entraîneur d’Ivry) :

Il y a beaucoup de déception par rapport à tout ce que l’on a livré. Ca se joue encore sur des petits détails mais je pense qu’il faut que l’on continue dans cette voie là car ça va bien finir par sourire. Tous les éléments seront un jour réunis pour que ça se passe bien. Prendre 10 buts n’aurait pas été plus confortable, ce qui est bien, c’est qu’il y a des choses qui avancent, il y a des joueurs qui apportent. Maintenant, il faut encore plus.

 

Patrick Cazal (entraîneur de Dunkerque) :

On attendait vraiment cette équipe d’Ivry comme elle a été présente sur cette fin de première mi-temps et dans la seconde. J’ai été plus surpris par la laxité de leur début de match au cours duquel on aurait peut-être pu faire la différence justement. Avec les différentes absences, il aurait été bien d’optimiser ce temps fort alors qu’Ivry était fébrile. Malheureusement, on a joué comme des petits garçons et on a permis à cette équipe d’Ivry de reprendre confiance et de nous malmener. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi ils sont si mal classés car il y a vraiment une belle équipe et j’espère que ça leur sourira bientôt. De notre côté, je suis satisfait de notre dernier quart d’heure car avant on a manqué de détermination, chacun ayant joué pour se faire plaisir. Dans le final, on a retrouvé notre collectif et c’est ce qui nous a permis de gagner.