Nouvel arrière droit de l’US Ivry Handball depuis cet été, l’ex Bordelais Mirko Popovic (au centre) a été plutôt brillant lors de la victoire val-de-marnaise à Mulhouse le week-end dernier. Il revient en exclusivité sur cette rencontre et son arrivée au sein du club.
Mirko, ce match face à Mulhouse, ça a vraiment été aussi difficile ?
C’est vrai que ça a vraiment été un très gros match. Mais on savait que cela serait compliqué d’aller s’imposer sur le marquet de cette équipe. Mulhouse est habitué à ce type de rencontre, connaît bien la Pro D2. On a mal démarré mais on a su revenir collectivement tous ensemble. Et on a été une équipe jusqu’au bout, on n’a rien lâché.
A titre personnel, vous avez été décisif avec 6 buts, dont celui de la victoire…
J’étais bien sur ce match en effet mais ce que j’ai fait ne compte pas vraiment car tout cela dépend toujours du travail collectif, de ce qu’ont fait mes partenaires pendant toute la partie. C’est facile de bien jouer et de marquer quand l’équipe joue bien, ensemble. Que j’ai marqué 6 buts ou 1 seul ne compte pas car c’est une victoire collective.
On sent tout de même que vous prenez bien vos marques à Ivry, non ?
Je me sens très bien ici, j’ai été parfaitement intégré et je suis très heureux de jouer pour Ivry. Mon objectif est d’aider du mieux possible le club à remonter en D1 en travaillant dur pour cela. Et ça se passe vraiment très bien, les joueurs de l’équipe s’entendent vraiment très bien. On joue bien ensemble et on a envie de continuer à progresser. C’est très positif.
Cette semaine, vous n’avez pas de compétition puisque l’US Ivry est exempte en raison du championnat à 13 clubs. Quel est le programme ?
On va récupérer un peu et faire pas mal de physique pour attaquer la prochaine série de matchs qui nous attend. C’est bien, on n’a pas fait d’erreur pour le moment, il faut continuer pour aller chercher cette montée. Il y a beaucoup de travail à effectuer mais on le fait pour le moment dans une très bonne ambiance. Tout va bien quand on gagne, alors il faut continuer.